<br /> je confirme que la famille de roquefeuil/aniort etais proche de de raymond II trencavel . autre precision : Chabert de Barbaira , marié a Blanche de Paracolls , fille de blanche et sicard de laurac<br /> , devient l'oncle des de niort/roquefeuil , lui aussi trés proche de trencavel.<br /> <br /> <br />

<br /> l'automne est précoce cette année....<br /> <br /> Mention (1ère ?) de Rocafolium en 1241-1242. De Roca Folio en 1258. Rupem Folium en 1326. Rupefolio en 1347, 1368. Roquefuel en 1571. Roquafeilh, Roquafeil, Roquefeil en 1594. Roquefeuille en 1775.<br /> Roquefeuil en 1781.<br /> <br /> La famille de Roquefeuil est sans l’ombre d’un doute très proche de la famille Trencavel et semblerait qu’elle fut également proche, de l’église « interdite ». En 1215, Raymond de Roquefeuil frère<br /> de Bernard Othon de Niort, plaida la cause du fils de Raymond-Roger Trencavel, au concile du Latran. Raymond de Roquefeuil mourut de ses blessures vers 1226, « consolé ». En 1217, Pons seigneur de<br /> Roquefeuil est déclaré Faydit après l’acte de soumission de Guillaume de Peyrepertuse, suivant la prise de Montgaillard dans les Corbières. Sur ordre de Jean de Beaumont, le castellum de Rocafolio<br /> (appelé « la viele ») est assiégé puis détruit, pendant la reconquête de Trencavel en novembre 1240 et les populations déplacées. Il est à noter que ce siège est motivé par la présence de Pierre<br /> Roger de Mirepoix, coseigneur de Montségur, dans le castellum et par la poursuite des Faydits, fidèles à Trencavel. Guiraud (ou Géraud) d’Aniort alors seigneur de Roquefeuil, se soumet « aux<br /> généraux » du roi de France à Duilhac, à condition que ses possessions lui soient rendu par le roi après sa réconciliation avec l’église. Amené en France, le roi approuva ce traité mais garda le<br /> château de Niort. A la mort de Géraud, le roi ne restitua rien à ses frères qui n’avaient pas traité avec lui et les remis au sénéchal de Carcassonne. Après la réorganisation en 1252, un nouveau<br /> village est reconstruit en contrebas. Durant les guerres de religion, les espagnol s’emparent du village et le détruisent en 1635.<br /> <br /> <br /> Le caput castri était accessible comme le montre vos photos par un escalier taillé dans la roche et une passerelle qui enjambait un fossé dégagé dans le rocher. On trouve en bordure d’un à-pic une<br /> base de tour d’environ 3,50 m X 2,50 m. Les murs Nord et Ouest étaient épais de 0,60 m. La face Sud étant plus exposée comprenait une épaisseur de 1,50 m. A l’Est, les banquettes portaient les murs<br /> mitoyens entre le donjon et la grande salle placée en contrebas, sur une terrasse de 10 m de côté, bordée d’un mur en moyen appareil irrégulier. Sur cette terrasse se trouvait l’aula. Au Nord, 4<br /> mètres plus bas se trouvait également une autre salle appuyée sur le rocher. A l’Ouest, des ancrages indiquent des fonds de cabanes. Au pied du castellum, la basse cour accueillait les bâtiments de<br /> service et une enceinte réduite à quelques moellons, la séparait du village que l’on devine à l’Est, près des ruines de l’ancienne église placée sous me vocable de Saint Martin. S’y trouve<br /> également les ruines d’un ancien habitat.<br /> <br /> <br />

<br /> je me ferai une joie<br /> <br /> de vous conter un peu de cette histoire du plateau de Sault<br /> <br /> le temps d'efeuiller mes grimoires !!<br /> <br /> <br />

<br /> Raymond de Niort, fils de Guilhem, vicomte de Sault, et d'Esclamonde de Laurac, Cathare, était seigneur de Roquefeuil. Son frère aîné, Bernard-Athon de Niort, seigneur de Laurac, lui succède comme<br /> seigneur de Roquefeuil. Possesseurs du Château de Niort qui était un des principaux repaires cathares, ils sont connus comme les frères maudits ;<br /> <br /> <br />

<br /> http://boutique.cathares.org/espaceEtPatrimoineCatharesExtraitPages34-37bd.pdf<br /> <br /> <br />