Si point ne me fourvoie, vous fêtez vos 10 ans de blog ce jour ! (je n’ai pas tenu comte de votre compteur de jours…)<br /> Cela m’a inspiré ceci :<br /> <br /> B elle et grande aventure que dix années <br /> R emplies à trier, ensuite partager <br /> A utant d’images et de renseignements !<br /> V ous êtes le Chevalier des ruines, vraiment !<br /> O bservées sont ces dernières patiemment,<br /> <br /> P uis nous narrez en détail rendes-vous <br /> O niriques et réels où, avant tout, <br /> U ne dévorante passion pour ces vieilles dames<br /> R estituez à merveille : cœur s’enflamme <br /> <br /> C omme votre raison, pour notre plus grand bonheur ! <br /> E t nous voici partis pour des ailleurs <br /> T ant magnifiques, dans diverses contrées ; <br /> T ant magiques, par rêves qu’ils savent susciter; <br /> E t tant… pis si d’aucuns je n’ai aimés ! <br /> <br /> D e très instructifs articles à lire, <br /> E mbellis par brins d’humour dans vos dires, <br /> C elant photographies en moult liens <br /> E t petites remarques si on lit bien,<br /> N on seulement le texte mais les images !<br /> N e faut-il être pressé « chez vous » : est-ce gage <br /> I ndiscutable de moments de plaisir<br /> E t d’enrichissement : savez offrir<br /> <br /> C hevaleureusement votre grand savoir<br /> H érité de ce si pugnace vouloir<br /> E ntièrement comprendre belles abordées ;<br /> V eillant à ne jamais rien oublier ;<br /> A pprenant à vos lecteurs fort novices<br /> L ‘art de nommer parties des édifices <br /> I nstantanément avec justes mots.<br /> E st-ce, pour ma part, un magnifique cadeau : <br /> R angés les ai-je dans « tiroirs médiévaux », <br /> <br /> <br /> E t bien au chaud sont-ils dans ma mémoire, <br /> T out comme vos appréciés moments d’Histoire. <br /> <br /> M agicien êtes, si si ! et votre capel, <br /> E n place de lapins ou colombes, recèle<br /> R avissants vestiges d’un lointain passé.<br /> C harmant !… Aussi par cette prose recevez <br /> I mmense merci !... Et… à dans dix années ! <br /> <br /> !

P ensive je suis à mirer tour, c’est vrai.<br /> L ‘absence de pierres ici, pour sûr, « y fait »…<br /> O r, n’est-ce le but de visite intérieure.<br /> M ême avec tel appareillage, bonheur<br /> I ndiscutable est-ce « Graal »* aborder. <br /> O n ne peut, je l’avoue, de marbre rester,<br /> N os yeux n’étant insensibles aux défenses <br /> <br /> A utant nombreuses, dénotant la puissance<br /> I ncomparable de ce moutier jadis…<br /> S ont archères vues toujours un pur délice !<br /> N on qu’elles puissent rivaliser avec<br /> E normes fentes de tir : serait-ce échec <br /> <br /> T ant ces dernières s’imposent… D’une belle parure <br /> H omogène surent s’habiller ces ronds murs.<br /> I ndications ensuite nous sont données,<br /> E n forme de trous, sur étages érigés.<br /> R affinement est atteint au plafond<br /> A pportant précisions sur la façon<br /> C ombien minutieuse qu’eurent les artisans<br /> H aut de la tour terminer en créant<br /> E xeptionnnelle voûte, point ne cédant,<br /> <br /> N enni, à la facilité… C’est beau !…<br /> O uvrages ainsi conçus sont un cadeau<br /> T out droit venu d’ancêtres qui avaient<br /> A cœur, lorsqu’argent et temps ne manquaient, « <br /> <br /> B âtir joliment, quand bien même pour guerre<br /> E taient leurs « commandes » : est-ce pour me plaire…<br /> N ‘arrêtez point, Ô Chevalier, de voix<br /> E ntendre ! car vous indiquent souventefois** <br /> <br /> P aradis sur terre !… dont vous nous donnez<br /> S oyez-en moult remercié, les clefs !<br /> <br /> *= les défenses vues de l’intérieur… ce qui n’arrive jamais ou presque.<br /> **… ou toujours… (il faudrait que je vérifie ! et puis j’avoue que ce mot m’allait bien pour la rime !)